Salon d'Art contemporain
Ce salon est une vraie réussite.
Mais il faut bien admettre que ce n'est pas très Rock & Roll....sauf les toiles d' Yves Henry et ses célèbres guitares dont il exposait 2 exemplaires durant
cette période.
Si vous ne connaissez pas encore ces œuvres, alors, c'est vraiment le moment !
Watmil.com
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« il appartient au monde du mouvement, et sa peinture, comme lui, vibre sans cesse.
Pas de répétitions, pas d’attachement … Yves Henry fait avancer le temps pour créer encore et toujours de la vie ; il faut lire entre les lignes, s’approcher des pages récupérées ici et là et avec lesquelles il bâtit ses toiles. Au tournant de la cinquantaine, Yves Henry est devenu ce qu’il était sans l’être encore : peintre et sculpteur. Quittant son métier de décorateur, il a pris sa nouvelle existence à pleines brassées, soucieux de ne jamais manquer l’idée qui passe, pour l’attraper, la triturer, lui faire prendre formes et couleurs … « Je ne détruis pas, je donne une seconde vie », dit Yves Henry en parlant des vieux papiers qu’il emploie. C’est un résumé de son propre parcours. L’homme se sert de tout son savoir antérieur pour construire une oeuvre riche, variée toujours en mouvement ... »
Ouest France
« L’oeuvre d’Yves Henry est ancrée dans la matière. La spontanéité de ses couleurs embrase toutes les nuances et révèle avec force sa sensibilité et ses inspirations. Son œuvre est restée proche de lui par le geste de la main et le choix du noir avec lequel il brise le silence et rythme l’expression d’un trait, d’une lettre. Yves Henry rapproche ainsi par des inventions ludiques des objets, symboles d’une transmission passée et le spectacle de la vie… »
Michel Guillet
« la peinture d’Yves Henry est une source prodigieuse d’émotion, de découverte, d’inspiration. Se jouant avec spontanéité des couleurs et matières, Yves Henry amène le spectateur de ses oeuvres à se laisser déborder par la couleur de ses propres passions… »
Sylvie Cartier
Yves Henry, est né en 1950, designer d’intérieurs de profession, artiste dans l’âme il rêve de peindre depuis son plus jeune âge, il faudra attende 50 ans pour que le reve se réalise.
En 1995, Yves Henry commence ses premières toiles, passionné par le Pop Art, il remet au goût du jour le cut out (collage d’images) qu’il accompagne de message qui traverse toute la toile. Ensuite il utilise des objets qu’il peint et détourne de leur contexte et c’est à ce moment qu’Yves Henry met au point ses peintures en trois dimensions.
En 2002, c’est le début de la consécration d’Yves Henry, il rentre dans des collections privées, les collectionneurs du monde entier achètent ses toiles et objets.
En 2005, Yves Henry est représenté dans le monde, Honk - Kong, New –York, Genève, Cologne, Singapour, Londres et naturellement Paris.
A ce jour, Yves Henry malgré son succès grandissant est toujours égal à lui même
simple,ouvert aux autres. Pour preuve, depuis l’année 2008 Yves Henry se consacre à un projet qui lui tient particulièrement à cœur, il est en train de réaliser 99 Girafes dont une partie des bénéfices sera reversée à l’association « Soleil d’Enfance», afin d’acheter des minibus spécialement équipés pour les enfants handicapés.
Je vous l’ai dit totalement atypique malgré son grand talent et ayant un cœur gros comme ça !!!!!!
Christophe Crouzet
Yves Henry, l’artiste contemporain initiateur du mouvement l’ARP (Artistic Relooking by Painting, Relooking Artistique parla Peinture).
Ce mouvement artistique, pouvant associer à la fois la peinture et la sculpture, se caractérise par l’utilisation d’objets évocateurs, de collages, d’écritures et de peinture abstraite. Ainsi, les œuvres qui en résultent, permettent à l’observateur agé de 7 à 77 ans de se projeter ou de se souvenir d’instants de scènes de vie émouvants ou passionnants (voyage en avion, en bateau, vol en montgolfière, utilisation d’un jouet, d’un instrument de musique, évocation d’un spectacle par une affiche…).
Grâce à une métamorphose artistique, au moyen de la créativité et de la peinture, des instants de la vie sont mis sur un piédestal. Bien loin de nous éloigner de la réalité, ce subtil relooking permet au contraire de nous remémorer l’utilisation originelle d’un objet ou de nous replonger dans l’ambiance d’un événement du passé.
Cette provocation raffinée de Yves Henry est un révélateur d’émotions qui revalorise le vécu des objets ou le souvenir de moments oubliés de la vie. Sa peinture stimule inévitablement notre sensibilité.
Ainsi, les tableaux de Yves Henry sont à la peinture ce que les madeleines de Proust sont à la littérature. Ils permettent de retrouver inconsciemment l’authenticité des choses.
L’Artistic Relooking by Painting incite tout le monde à la rêverie.
Benoît Tsirony
Quand les clients viennent à mon atelier, dans une galerie ou à l'occasion d' un salon d'art contemporain, ils font pratiquement toujours la meme remarque : "c'est le meme peintre qui a créé tout cela !" Ils sont étonnés par la diversité de mon art. Je peins comme j'ai envie, comme je le ressens sur le moment, en suivant mon inspiration, je ne peins pas un tableau, je peins, tout simplement .Au départ je n'ai aucune idée précise, ou du moins si j'en ai une, elle change pratiquement tout le temps en cours de route, selon mes taches de couleurs, mes traits, mes reliefs, mes courbes, mes jets de peintures, mes essuyages, mes réussites, mes erreurs, mes idées, mes hésitations; Je découvre mon oeuvre au fur et à mesure que je travaille, quel bonheur souvent, quelle douleur parfois.
Ma principale préocupation est la couleur, le sens du beau, du simple à regarder. Je ne cherche pas à ce que mon art dérange et interpelle, je souhaite qu'il fasse plaisir et apaise. J' essaye de ne pas laisser trop transparaitre ma personnalité dans mon travail, pour laisser un peu de place aux autres, pour qu'ils puissent également rentrer dans la toile, lui faire dire ce qu'ils voient ou meme leur laisser le choix de ce qu'ils veulent lui faire dire. C'est le coté vivant de l'abstrait. Je ne veux pas m'imposer tout seul sur les murs de mes acheteurs, je souhaite simplement partager leur amour de l'Art, et d'une certaine façon renter chez eux, participer si possible un tout petit peu à leur vie. Que l'on parle un peu de moi, que l'on pense un peu à moi ! Quel bonheur si parfois j'y parviens.
Je peins très rarement devant un public, mes hésitations, ma pudeur m'en empeche. Mais l' autre jour contraint et forcé à travailler en exterieur pour des raisons purement techniques, je sentais une présence génante dans mon dos; Cependant je continuais à travailler essayant d'oublier cette intrusion dans mon univers secret. Après un long moment, profitant d'un moment d'hésitation et à première vue de ma disponibilité apparente, cette personne me dit: "j'aime beaucoup ce que vous faites, je vous regarde depuis un certain temps, et c'est fantastique, vous avez litteralement engagé un dialogue avec votre toile! "Elle avait tout compris. Quand je peins, je suis dans mon petit atelier en sous-sol, sans lumière du jour cela ne me gene pas. Je travaille dans mon désordre organisé, ou personne d'autre que moi ne peux s'y retrouver. Mais je me sens bien dans ma pagaille, j'y ai mes repères, mes marques, c'est très rassurant. Pendant plusieurs heures je n'entends plus rien, je ne vois plus rien, je ne pense plus à rien, je suis tout seul avec ma toile et mes peintures, quel égoisme, mais quel bonheur. Pendant ces quelques heures cette toile subit mes caprices, mes angoisses, mes colères, ma mauvaises humeur, mon dépit, ma tristesse parfois ; mais en contrepartie je lui prodigue les plus grands soins, je m'occupe d'elle, je la peins, je la badigeonne, je la dessine, je l'essuie, je la repeins, je la contemple, je lui parle, je la caresse ; Enfin, je l'aime .Quand tout est finis, ma manière de peindre m'obligeant à ne pas m'arreter, je suis completement vidé, épuisé, incapable d'entreprendre une autre tache, comme si toute mon énergie était partie dans mon oeuvre, je suis obligé d'attendre un certain temps, voir le lendemain ou plusieurs jours, avant de me lancer dans une nouvelle aventure.
Pour répondre à la question de beaucoup de mes acheteurs, je n'ai pas de peine à leur céder mon oeuvre, au contraire je suis content. La plupart du temps je les connais, j'ai sympatisé avec eux, je les ai apprécié; C'est l'avantage des ateliers ou des marché d'Art. Maintenant c'est à eux de chouchouter ma toile, de l'admirer,de lui parler,de la carresser, la création reste à moi, mais ils sont propriétaires de la toile. Et tant mieux si au cours d'une autre rencontre ils m'en donnent des nouvelles et éventuellement si j'ai l'occasion de la revoir des années plus tard. J'ai toujours la meme autosatisfaction, et pense au fond de moi :" C'est moi qui ai fait cela, c'était bien ! " je m'étonne, meme si entretemps j'ai changé de style et de registre .
Yves Henry
Il est des rencontres importantes dans une vie, et celle avec Yves Henry est passionnante.
Si j’avais été peintre, j’aurais aimé être lui. Je me suis toujours exprimé avec des mots mais lui a su traduire uniquement en visuel, l’essence même de l’art : originalité, créations perpétuelles, une mise en scène des couleurs spectaculaire, le souci du détail et de la touche finale. Sentir la mouvance du goût du public tout en restant fidèle à sa patte…Bref chacune de ses toiles
(Certaines en 3 dimensions !) Est un appel au rêve, un coup de poing à la morosité, un sourire, voire même un rire. Chapeau Yves… je suis heureux d’avoir été témoin de l’envol de ton œuvre qui na pas fini de nous surprendre. Oh que non !
Avec toute mon admiration. Olivier Lejeune.
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Drapeau americain